• L’affaire Avestor ou Who killed the electric car, Xième partie?

    Anonymous, Vendredi, Novembre 3, 2006 - 23:16 (Analyses | Ecologie | Economy)

    Avestor, l’entreprise québécoise (du moins partiellement) ayant développé la batterie Lithium-ion-polymère, entièrement recyclable et ultra-performante semble avoir définitivement rendu l’âme. Qu’adviendra-t-il des brevets que celle-ci a déposé? Il y a fort à parier qu’il ne serviront pas à motoriser une voiture électrique…

    Avestor était contrôlé à part égale par Hydro-Québec et Anadarko, une des plus grandes compagnies indépendantes en exploration et en production pétrolière et gazière, basée au Texas, ce qui en soi devrait laisser perplexe. Le président d’Anadarko se nomme James H. Hackett (1) et siège également au conseil de direction de la Federal Reserve Bank of Dallas (comme dans pétrole), ce qui est d’autant plus troublant. Qui plus est, il y siège au coté d’un dénommé Ray L. Hunt (2,3,4), un proche de Georges W. Bush, membre du conseil de direction du National Petroleum Council, du Center for Strategic and International Studies ainsi que d’Halliburton (Comme dans Dick Cheney, vice-prez). Pigez-vous le bogue?

    Si vous ne pigez pas, cliqué là-dessous :
    www.sonyclassics.com/whokilledtheelectriccar
    www.dontcrush.com
    www.pluginamerica.com


    La voiture à hydrogène n’est pas prête pour demain. Tandis que la voiture électrique, ça devrait être la voiture d’aujourd’hui, d’encore plus tard et même celle d’avant hier. La technologie est mature. Je ne parle pas des hybrides mais bien des voitures 100% électrique ou à dominance électrique. Le marché n’est pas au rendez-vous? Sur le plan de la consommation, c’est six plus économique pour le porte-feuille, en Californie, où l’électricité coûte drôlement plus cher qu’ici. Sur le plan des performances, la Tesla, présentement sur le marché, accélère de 0 à100 km/h en 3.8 secondes avant d’être freiné par le limiteur de vitesse bien au delà de la limite du raisonnable sur les routes (220 km/h), offre une autonomie de 250 milles (400 km) et son temps de recharge est tout à fait acceptable (5). Quand on pense qu’Hydro-Québec est l’actionnaire majoritaire de la société TM4, prêt à produire des moteurs-roues électriques –18% des actions ont été cédés à la firme Dassault, premier exportateur européens dans le domaine de l’aviation militaire-, il y a de quoi mettre son drapeau en berne.

    Sur quoi s’est-t-on basé chez Avestor pour statuer que le marché pour la voiture électrique était trop limité et pour décider de tout miser sur des batteries destinée au télé-communication? Sur les ventes des micros-voiturettes électriques française destinée exclusivement à un usage urbain? Je n’ai rien contre ces sympathiques bagnoles mais il faut reconnaître que l’on a jamais donné une véritable chance à la voiture électrique du coté des grands constructeurs automobile de la mère patrie. Se basaient-t-ils sur les statistiques de l’expérience californienne? Si oui, j’espère qu’on a tenu compte du fait qu’il y avait une liste d’attente considérable pour ces voitures au moment où les constructeurs ont décidé de reconduire leurs flottes produites à la fourrière (6). Croyaient-t-ils vraiment qu’il était impossible de concevoir une voiture complète? Bolloré, l’entreprise concurrente à Avestor dans le domaine des batteries Lithium-ion-polymère –soit dit en passant, les leurs ne se sont jamais enflammé à ce que je sache?- s’est très bien acquittée de la tâche en créant la BlueCar, qu’elle cherche maintenant à produire de façon industrielle (7,). Ces réalisations exigent de longues années de recherche? Les premières voitures électriques Cleanova de la firme SVE, qui consiste en un assemblage de barquette Renault Kangoo, de moteur TM4 made in Québec et de batterie française Saft lithium-ion, ont été livrés à la société des postes française deux ans seulement après la fondation de l’entreprise.(8,9).

    Je ne prétends pas que la technologie développée par Avestor était parfaitement au point et j’attends toujours les résultats de l’enquête de la Sûreté du Québec, demandé par Hydro-Québec, sur les agissements d’anciens dirigeants d’Avestor congédiés en 2004. Je constate toutefois qu’il y avait manifestement des intérêts contradictoire au sein des actionnaires d’Avestor. Le ministre des Ressources Naturelles Pierre Corbeille en a conclu qu’Hydro-Québec devrait à l’avenir se concentrer sur ce qu’elle fait de mieux, c’est à dire produire de l’électricité. Je crois qu’il suffirait plutôt de mieux étudier le profil des partenaires à l’avenir avant de liquider le génie.

    En attendant que le film Who killed the electric car soit disponible aux clubs vidéos du coin, je vous invite à visiter, si ce n’est pas déjà fait, leur excellent site internet (10), de même que celui des groupes de pressions Dont crush it (11) et America plug-in (12), fondés par les locateurs de voitures électriques qui refusaient de rendre leurs véhicules, que les constructeurs voulaient amener à l’abattoir, après avoir réussi à renverser la loi californienne les obligeant à mettre sur le marché des voitures n’émettant aucun GES (gaz à effet de serre)… Tout ce que je viens d’écrire ne prouve peut-être rien concernant les intentions de quiconque mais tout compte fait, les 50% de part d’Avestor acquise par Kerr-McGee (Anadarko), c’était une tabarouette de bonne affaire pour nos amis, les investisseurs du Texas…

    Philippe Vallier

    (1) http://yahoo.investor.reuters.com/OfficersBio.aspx?target=executiveofficers/biographies&ticker=APC
    (2) (voir 8ième et 9ième profil sur la page)
    www.federalreserve.gov/generalinfo/listdirectors/default.cfm?WhichDistrict=11
    (3) www.corporatewatch.org on Halliburton
    (4) www.halliburton.com/about/board_of_dir.jsp
    (5) www.teslamotors.com/index.php?js_enabled=1
    (6) www.clean-auto.com/article.php3?id_article=2579
    (7)www.batscap.com
    (8) www.clean-auto.com/article.php3?id_article=3666)cleannova-poste-date
    (9) www.serge-dassault.net/filiale.php?f=1&docid=82
    (10) www.sonyclassics.com/whokilledtheelectriccar
    (11) www.dontcrush.com
    (12) www.pluginamerica.com

    Il existe déjà au Québec, pour ceux qui ne les connaissent pas, le CEVEQ, le centre d’expérimentation des véhicules électriques du Québec. J’ai énormément de reconnaissance pour leur travail, ils sont extrêmement dynamique mais deux de leurs objectif, qui sont tout à fait pertinents, consiste à contribuer au développement d’un réseau d’excellence pour l’émergence du transport avancé et puis à accroître les transferts – technologie, expertises - avec les autres régions du monde, particulièrement avec la France, bref à tisser et stimuler des liens entre les acteurs de l’industrie et puis de solliciter l’implication des gouvernements, ce qui fait que j’ai l’impression que ce groupe marche sur des œufs quand vient le temps de dénoncer avec toute la virulence qui s’impose la résistance de l’industrie de l’automobile à favoriser le développement du marché des véhicules électriques, une résistance qui est assez manifeste quand on sait comment les constructeurs ont réagit face à l’initiative californienne, qui leur imposait de mettre sur le marché 1% de véhicules zéro émission.

    Pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire, les constructeurs ont plus ou moins respecté la loi en mettant sur le marché quelques milliers de voitures 100% électriques mais aussitôt qu’ils ont réussis à faire abroger la loi, ils ne sont pas contenter de cesser la production, ils ont réclamé les véhicules à ceux qui avaient des contrats de location afin de les détruire. Ça a créé évidemment un mouvement de contestation, les locateurs se sont regroupé pour fonder un groupe de pression appelés Dont crush it, qui a engendré par la suite un mouvement plus large appelé America Plug-in. Comme je le répète, ça vaut vraiment la peine de visiter le site internet de Dont crush it et puis de lire ou d’écouter les témoignages. Je vous cite (et traduis) un extrait du discours de Paul Scott disponible en format mp3 sur le site www.dontcruch.com:

    « Au fil des ans, j’ai rencontré des centaines de personnes fascinés par ma voiture et son fonctionnement. Je leur explique brièvement les bénéfices de la motorisation électrique et la réponse est universelle : Les gens veulent s’acheter une voiture électrique. Quand je leur répond qu’il n’ont pas ce choix, que les compagnies ont cessé de produire des VE, la réponse est universelle. Il sont consternés et ne peuvent pas le croire. Et, quand j’ai à leur expliquer pourquoi les constructeurs refusent de fabriquer ces voitures –parce que personne ne connaît la vérité- je me remémore la campagne de relation public couronné de succès pour détruire idéologiquement la technologie VE.

    Ce que l’on doit faire maintenant consiste à surmonter ces années de désinformations et de propagande de l’industrie automobile. Nous devons éduquer. Parce que quand les gens connaissent la vérité, et qu’on leur offre le choix, ils choisissent invariablement l’énergie électrique au-delà de toutes les autres alternatives. »

    Si des gens sont intéressé à fonder un nouveau groupe de pression au Québec, semblable à America Plug-in, pour effectuer du travail de conscientisation, je serais partant.


    Philippe Vallier
     

    votre commentaire
  • DontCrush.com Urges Toyota Not to Destroy Electric Vehicles.

    Publication: Electric and Hybrid Vehicles Today
    Date: Monday, June 6 2005


    You are viewing page 1

    California state senator Sheila Kuehl joined last week with DontCrush.com, a coalition of RAV4 EV drivers, former Honda EV+, GM EV1 and Ford Th!nk City lessees, and clean air and energy independence advocates, in publicly asking Toyota Motor Corporation to stop crushing its RAV4 EVs and allow leaseholders to purchase the electric vehicles. 

    Source : http://www.allbusiness.com/transportation/motor-vehicle-manufacturing/443759-1.html 

     


    votre commentaire
  • TOYOTA et les autres fabricants automobiles sont soumis à de fortes pressions pour trouver des solutions, afin de mettre sur le marché des véhicules électriques d’un prix raisonnable, susceptibles de fournir des prestations acceptables, avec une autonomie suffisante. En 1997, TOYOTA a lancé le RAV4 EV, premier véhicule équipé en série de batteries au nickel et à l’hydrure de métal. La Toyota RAV4 EV constitue, selon une opinion largement partagée, la production la plus souple et la plus pratique des voitures électriques construites jusqu’ici. Quelques centaines d’exemplaires ont été loués ou vendus en Californie.

    Et pourtant, la production a maintenant cessé.

    Source :
    Clean@uto.com

    votre commentaire
  • Il faut dire que General Motors est un groupe controversé. Flash back : le géant américain a assassiné la voiture électrique en 2001 en stoppant le programme EV1. L'EV1 a été la première voiture électrique de série rechargeable sur le secteur, disponible en location longue durée et non à la vente.

    Sur les 1100 véhicules produits, GM en louait alors plus de 800. Au bout de 3 ans de location, ces véhicules loués devaient être restitués à GM. C'est en Californie et en Arizona qu'on les trouvait. Les concessionnaires Saturn les louaient et les entretenaient aussi.

    L'objectif de l'EV1 : appliquer les nouvelles lois californiennes sur les voitures à zéro émission du début des années 90. En 1998, ce programme ZEV (Zero emission vehicule) notifiait que 2% de tous les véhicules vendus ne devaient émettre aucun gaz polluant. GM a dépensé plus d'un milliard de dollars afin de développer et de commercialiser l'EV1. Mais l'administration Clinton a contribué en grande partie à financer ce programme !

    En 2001, GM a annulé l'EV1, même si de nombreux clients en redemandent. Etonnant ! GM a donné des expliquations peu crédibles : ce programme n'est pas assez rentable, ne pouvant pas écouler assez de véhicules. Et sur une liste d'attente de 5000, uniquement 50 clients loueraient véritablement. Mais GM n'a pas révélé tous les éléments de cette affaire, bien sûr. Le coût de l'électricité, utilisée comme source d'énergie pour une auto, oscillait entre 1/3 et 1/2 du coût équivalent en essence. Et en juillet 2006, un reportage diffusé sur le chaîne publique PBS accuse les lobbies pétroliers et l'administration Bush d'avoir poussé GM à exterminer l'EV1.

    Cela me fait doucement rire : au début du salon de Los Angeles, GM déclare qu'il se penchait sur une gamme électrique et vendrait à moyen terme une "hybride rechargeable". Il est vrai que cela pourrait être bien pour un automobiliste qui circule uniquement en ville et en banlieue car il bénéficierait de l'autonomie et de l'économie de fonctionnement. Mais le prix de vente initial risque d'être énorme. Et peut-on vraiment faire confiance aux initiatives et aux promesses de General Motors ? Humm... Pas sûr...

    Source : http://ecologie.caradisiac.com/Los-Angeles-le-Hummer-vert-humm-humm-467

    Voir aussi cette pub des années 1996 sur : http://www.culturepub.fr/videos/general-motors-ev1-electricite.html


    votre commentaire
  • Pour commencer l’année en paix avec la Nature, voici quelques gestes que l’on peut intégrer dans ses habitudes. Ils ne coûtent pas grand-chose, font du bien à l’environnement et peuvent même rapporter de substantielles économies.

    L’année 2007 restera sans doute comme un tournant dans le rapport de nos sociétés avec l’environnement. La conscience populaire a progressé dans cette direction et des engagements politiques ont commencé à germer au plan international.

    A l’échelle individuelle, il est clair que nos habitudes devront se modifier au fil des décennies à venir. On peut déjà adopter quelques règles simples. En voici quinze, dont chacune en réunit parfois quelques autres. Elles ne sont guère contraignantes, et même économiquement lucratives. A chacun de les appliquer à sa manière. On peut aussi les enseigner à nos enfants qui, eux, connaîtront la suite de cette histoire qui commence...

    Les déplacements

    1 - Je prendrais le train

    ... le métro, le bus, le tramway, bref, les transports en commun. On peut aussi, tout simplement, préférer la marche à pied pour aller faire quelques courses en ville. Un Européen moyen achète 427 litres de carburant par an, le plus souvent pour des déplacements de quelques kilomètres. Pollution et dépenses financières peuvent ainsi être réduites simultanément.

    2 - Je ne laisserai jamais tourner bêtement le moteur de ma voiture quand elle est arrêtée pour un moment

    Rouler tranquillement, c’est-à-dire éviter d’accélérer brutalement et inutilement, réduit déjà notablement la consommation.

    3- Pour ma prochaine voiture : si j’avais envie d’un V8, j’achèterai un V6, si j’avais envie d’un V6, j’achèterai un V4, si j’avais envie d’un V4, j’achèterai un vélo.

    La consommation d’un moteur est mécaniquement liée (mais pas seulement, bien sûr) à sa cylindrée.

    4 - De toute façon, j’achèterai un vélo

    Voir conseil numéro 1.

    Les habitudes d’achats

    5 - J’achèterai des fruits de saison et des produits locaux

    Le coût écologique d’un fruit importé de l’autre hémisphère, surtout dû au transport, est considérable. La culture sous serre, également, est une grosse consommatrice d’énergie.

    6 - J’éviterai d’acheter des produits comportant de l’huile de palme

    De plus en plus fréquents, dans les cosmétiques, les plats cuisinés, les chips, les barres chocolatées ou les gâteaux industriels (dont les viennoiseries), l’huile de palme est produite dans des conditions déplorables. Les plantations créées pour répondre à la demande mondiale en croissance exponentielle dévastent des forêts entières avec tout ce qu’elles contiennent.

    7 – Je n’achèterai pas de bois illégalement coupé

    Dans beaucoup de pays tropicaux, la majorité des coupes de BoisNom masculin : tissu complexe formé de cellules disposées longitudinalement (cellules conductrices, fibres) et transversalement (rayons). Le bois constitue la plus grande partie du tronc des plantes ligneuses.’) ;" onmouseout=killlink()>bois proviennent d’exploitations travaillant dans l’illégalité. Une fois débité, ce bois est exporté et se retrouve souvent dans nos pays, sans que des contrôles empêchent ces importations. Préférez donc les bois locaux ou estampillés FSC (Forest Stewardship Council).

    8 - Je n’achèterai pas de poissons des grands fonds ni de poissons carnivores, comme le thon

    Les populations de poissons des grands fonds sont mal connues mais on sait une chose : la croissance de ces animaux est très lente. La surexploitation actuelle, dans des eaux internationales, en l’absence de règlementation, a déjà décimé de nombreux lieux de pêche. L’empereur est proche de l’extinction. Quant aux poissons carnivores, ils sont en haut de la chaîne alimentaire. Manger du thon, c’est bon mais, hélas, c’est, sur le plan écologique, comme manger du lion.

    (Vous retrouverez bientôt sur Futura-Sciences le témoignage de Claire Nouvian, une cinéaste qui a travaillé le sujet durant plusieurs années).

     

    A la maison

    9 - Je ne laisserai pas couler l’eau du robinet

    Prendre une douche plutôt qu’un bain, réparer les fuites dans la robinetterie ou éviter de laisser couler l’eau tandis que l’on se frotte les mains : voilà de quoi diminuer sa consommation de plusieurs dizaines de milliers de litres par an. A la réduction de la facture s’ajoute l’impact, bénéfique et très important, sur les ressources en eau disponible pour l’ensemble de la population.

    10 - Je débrancherai les appareils électroniques qui se mettent en veille au lieu de s’éteindre

    Cette étrange mode, parfaitement inutile, représente environ 200 kWh/an et par foyer. Le geste est simple et l’effet immédiat, en premier lieu sur la facture d’électricité.

    11 - Je tâcherai de mieux isoler ma maison

    Un habitat moderne consomme entre 80 et 250 kW/m2/an. Double fenêtrage et isolation thermique permettent de déplacer la consommation de la maison à l’intérieur de cette fourchette. Les prochaines constructions devraient faire mieux : les discussions du « Grenelle de l’environnement » ont abouti à la décision qu’un tiers des logements neufs devront consommer moins de 50 kWh/m2/an.

    12 - J’achèterai des ampoules électriques à basse consommation

    A lumière égale, la quantité d’électricité est divisée par quatre ou cinq. Quant au prix d’achat plus élevé, oublions ce détail : ces lampes ont une durée de vie en moyenne six fois plus longue et ne coûtent pas six fois plus chères.

     

    Au bureau

    13 - J’éteins la lumière en partant le soir

    ... quand c’est possible bien sûr. Si l’on utilise un ordinateur, on peut aussi penser à l’éteindre le soir. Le bureau est un endroit particulièrement énergivore, tant les activités y sont guidées par d’autres priorités. Et pourtant... Entre 1991 et 2004, British Telecom a réduit sa facture énergétique de 214 millions de dollars par de simples mesures de ce genre. Eviter d’imprimer inutilement ou réutiliser le verso de pages comme papier brouillon peut aussi aider les forêts.

     

    Dans la Nature

    14 - J’éviterai de jeter quoi que ce soit en dehors des poubelles

    ... ni par la vitre de la voiture, ni pendant le pique-nique. Une canette restera dix ans sur place. Un sac en plastique flottant sur la mer semblera appétissant à une tortue mais l’étouffera.

    15 – J’évite de cueillir des plantes inconnues

    Elles peuvent être protégées ! Mais cela ne m’empêchera pas d’aller me balader plus souvent dans la nature (voir conseils numéro 1 et 4), où l’on fait de belles rencontres...

     

    Source : http://www.betapolitique.fr/Environnement-15-bonnes-02357.html


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires