• Les pénuries d'eau, l'or bleu qui fait déjà défaut à plus d'un milliard d'humains, pourraient en affecter trois fois plus sous l'effet du réchauffement climatique, préviennent les experts mondiaux sur le climat.

    D'ores et déjà, l'Unesco rappelle à l'occasion de la Journée mondiale de l'eau, jeudi 22 mars, qu'une personne sur quatre dans le monde n'a pas accès à l'eau potable.

    Le Groupe intergouvernemental d'experts sur le changement climatique (Giec), qui a prédit en février une hausse de 1,8 à 4° de la température moyenne planétaire d'ici 2100, rendra le 6 avril à Bruxelles ses conclusions sur les impacts prévisibles du phénomène, dont l'AFP a obtenu la dernière version en circulation.

    Celle-ci risque cependant d'être encore amendée par les délégués des 190 Etats membres de l'Onu lors de leur réunion dans la capitale belge pour approuver ce nouveau chapitre du 5è rapport (le précédent date de 2001).

    A ce stade, les scientifiques estiment avec un degré de confiance élevé (8 chances sur 10) que pour une hausse de 2° des moyennes planétaires, les ressources en eau diminueront alors que les besoins d'irrigation augmenteront, que les sécheresses seront probablement (à 65%) plus fréquentes et qu'elles affecteront des régions aujourd'hui semi-arides.

    Selon leurs conclusions, ces 2°C supplémentaires pourraient (avec une confiance de 5 chances sur 10), placer jusqu'à 2 milliards d'humains en pénurie d'eau aggravée, dont 350 à 600 M seraient concernés en Afrique et 200 M à un milliard en Asie.

    Si le thermomètre mondial devait grimper de 4°C supplémentaires, ce sont jusqu'à 3,2 milliards de personnes qui seraient en manque d'eau.

    De son côté, l'Unesco a estimé dans un rapport publié en 2006 (UN World Water Development report) que d'ici moins de 25 ans, les deux-tiers des habitants de la planète résideraient dans des pays connaissant de graves problèmes d'approvisionnement en eau, spécialement en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Afrique.

    La rareté en eau commence à moins de 1.000 m3 par jour et par personne, selon les standards de l'Onu qui reconnaît cependant que d'ores et déjà, "de nombreuses régions du monde" (Afrique, Asie centrale mais aussi sud-ouest des Etats-Unis et sud-est de l'Australie) vivent en situation de pénurie chronique avec 500 m3/jour/personne.

    Parmi les impacts du réchauffement sur la ressource en eau, les scientifiques du Giec font valoir les modifications apportées aux régimes des lacs glaciaires et des rivières alimentées par la fonte des neiges, notant que "les réserves d'eau contenues dans les glaciers et la couverture neigeuse vont très probablement décliner".

    Par ailleurs, la multiplication des précipitations extrêmes devrait augmenter les inondations et favoriser la contamination des ressources en eau douce.

    Les ressources souterraines - la péninsule arabique en dépend à 80% -, l'eau des puits et celle utilisée pour irriguer seront par ailleurs menacées par la salinisation, sous l'effet conjugué des sécheresses et de l'élévation du niveau des océans qui favorisera l'intrusion des eaux salées, estiment les experts du Giec.

    Dans leur premier chapitre le 2 février, les scientifiques s'étaient accordés sur une hausse de 18 à 59 cm des mers d'ici 2100 selon l'ampleur du réchauffement.

    Source : La lettre de Terre Sacrée du 21  mars 2007  http://terresacree.org


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  • 2007-03-16

    POTSDAM (Source vérifiée)

    Les ministres de l'Environnement du G8, de Chine, d'Inde, du Mexique, d'Afrique du Sud, et un responsable du Brésil, ont commencé à discuter des moyens d'affronter ensemble le réchauffement climatique et la destruction de la biodiversité, vendredi à Potsdam, près de Berlin.

    C'est la première fois qu'un G8 de l'environnement associe ces cinq grands pays dits émergents.

    La réunion de Potsdam, dans l'historique château Cecilienhof, est l'occasion de sonder le terrain avant le sommet du G8 du 6 au 8 juin à Heiligendamm (nord-est de l'Allemagne) et le lancement officiel en décembre prochain à Bali de négociations pour assurer une suite au protocole de Kyoto, qui expire en 2012.

    "Il ne s'agit pas de négocier un accord aujourd'hui, mais de discuter de deux thèmes, la biodiversité et le changement climatique," a déclaré avant la réunion le ministre allemand de l'Environnement Sigmar Gabriel dont le pays préside le G8 (Italie, Allemagne, France, Grande-Bretagne, USA, Canada, Japon, Russie).

    "Nous voulons parler clairement des barrières qui ont freiné jusqu'à présent une avancée" des négociations internationales sur le climat et "des moyens des les écarter", avait-il prévenu jeudi.

    "J'espère qu'il y aura de nouvelles réflexions, quelques nouvelles idées, une nouvelle ouverture, parce que c'est ce à quoi le sommet du G8 + 5 aspire," a souligné le ministre britannique de l'Environnement David Miliband, également avant la rencontre.

    M. Miliband a exprimé le souhait que les Etats-Unis, qui n'ont pas ratifié le protocole de Kyoto sur une réduction des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2012, changeront d'avis.

    Quant aux pays émergents, ils ont le choix "de se développer avec de fortes émissions de CO2 en répétant les erreurs des pays industrialisés, ou de choisir une voie de développement pauvre en CO2", a relevé le ministre britannique.

    Le président du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) Achim Steiner a salué sur la radio berlinoise RBB les efforts méritoires entrepris déjà par la Chine et le Brésil dans la protection de la biodiversité et du climat.

    Il faisait allusion au programme chinois en faveur des énergies renouvelables et des mesures prises par le Brésil contre la destruction de la forêt amazonienne. "Il y a eu de grands pas de faits et nous devons savoir les reconnaître", a-t-il dit.

    L'association écologiste Greenpeace a fait une intervention spontanée dans la matinée en débarquant avec des zodiacs sur les plages du parc qui donne sur le lac de Wannsee, pour planter deux banderoles sur la pelouse appelant: "G8 cessez de parler, agissez maintenant". Une même banderole était érigée sur un grand voilier naviguant sur le lac.

    Les militants veulent remettre une pétition à chacun des ministres du G8 présents au sommet leur demandant de se fixer un objectif de 30% de réduction des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020 par rapport à 1990.

    L'autorité météorologique américaine, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), a rapporté jeudi que décembre, janvier et février derniers ont été les plus chauds que la Terre eut connu depuis la création d'un archivage des températures il y a 128 ans.

    La réunion a lieu dans le château Cecilienhof où se sont réunis en juillet-août 1945 Truman, Churchill et Staline à la fin de la Deuxième guerre mondiale.
     
    Source : La lettre de Terre Sacrée du 16 mars 2007
    http://terresacree.org

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  • 15 mars 2007 (Par Pierre Melquiot)

    Réuni cette semaine à Rome, le comité des forêts de la FAO a rendu public son rapport sur l'Etat des forêts en 2007. La situation est particulièrement préoccupante sur le continent africain, où 3 millions d'hectares de forêts tropicales ont été rayés entre 1990 et 2005, soit l'équivalent chaque jour de la surface de Paris...

    Greenpeace demande à la France et aux instances internationales d'aller au delà du constat alarmiste et de prendre les mesures qui s'imposent, notamment dans le bassin du Congo.

    Entre 2000 et 2005, sur l'ensemble de la planète, la perte nette de forêts s'établit à 7,3 millions d'hectares par an, soit 20 000 hectares par jour.

    En Asie du Sud-Est, en Amérique latine et en Afrique, la déforestation continue à un rythme très préoccupant, compromettant mode de vie des populations, biodiversité et équilibre global du climat. Si Greenpeace se range à la conclusion de la FAO : « Les forêts et la population souffrent de méthodes d'exploitation menant à la destruction et au gaspillage », elle appelle à prendre d'urgence les mesures appropriées : mise en place d'aires protégées, encadrement de l'exploitation du bois, promotion d'usages moins destructifs de la forêt. « Encore une fois, la situation est grave, mais des solutions existent. Encore une fois, les décideurs politiques plient l'échine devant des intérêts économiques à court terme ! » précise Grégoire Lejonc, chargé de campagne Forêt africaines à Greenpeace.

    L'Afrique concentre à elle la moitié de la déforestation. Les pressions combinées de l'industrie du bois et de l'exploitation agricole sur brûlis ont amputé le continent de 9% de sa surface forestière entre 1990 et 2005.

    La situation est particulièrement grave en République Démocratique du Congo (RDC), où se situent les deux tiers de la seconde forêt tropicale de la planète. Relativement préservé, cet espace exceptionnel est à la croisée des chemins. Au sortir de dix années de guerre civile, gouvernement et bailleurs de fond doivent décider dans les semaines à venir de l'avenir de l'exploitation industrielle du bois. « L'enjeu est crucial : 60 millions d'hectares de forêts naturelles - soit la taille de la France - risquent d'être affectés aux exploitants industriels alors même qu'aucun zonage écologiquement et socialement pertinent n'a été fait ! Les risques pour la population et la biodiversité sont immenses.» précise Grégoire Lejonc.

    La prolongation du moratoire sur l'attribution de nouveaux titres forestiers en RDC est un premier élément de réponse concret pour enrayer un phénomène mondial gravissime. Interpellé par
    Greenpeace lors du sommet France-Afrique en février à Cannes, Jacques Chirac s'est engagé à ce que la France soutienne ce moratoire et soit le moteur d'une politique internationale de protection active de la biodiversité dans le bassin du Congo. La communauté internationale, Banque Mondiale en tête, doit ensuite aider le gouvernement Congolais à assainir son secteur forestier et à promouvoir des usages moins destructifs de la forêt.

    http://www.actualites-news-environnement.com:80/20070315-etat-forets-2007-constat-alarmant.php
    Source : La lettre de Terre Sacrée du 16 mars 2007
    http://terresacree.org/forets3.htm

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  • Dimanche 1er avril « VOTONS POUR LA PLANETE » Rassemblons-nous à 14h au Zénith de Paris et à 17h au Trocadéro.

    Ensemble, à trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, rappelons aux candidats qu’ils ont signé le Pacte écologique et se sont engagés sur des propositions.

    Les ONG environnementales, avec la Fondation Nicolas Hulot, s’unissent dans un appel commun « Votons pour la Planète ! ».

    Soyons nombreux, de toutes les régions de France, à affirmer notre détermination et notre vigilance.

    Déroulé de la journée ‘’Votons pour la planète !’’ - dimanche 1er avril :

    14h - Conférence au Zénith de Paris
    Conférence débat de Nicolas Hulot, organisée par la Fondation Nicolas Hulot, avec de grandes personnalités dont Hubert Reeves, Edgar Morin et Charles Aznavour.
    Conférence gratuite. Pour réserver,
    cliquez-ci.

    17h - Grand Rassemblement au Trocadéro à Paris !
    Rassemblons-nous 30 minutes pour manifester notre détermination : les engagements écologiques des candidats doivent être tenus ! Portons un foulard de couleur en symbole de notre engagement. Pour en savoir plus, cliquez-ici :

    www.pacte-ecologique-2007.org

    Mobilisons-nous. Merci de diffuser cet appel à vos proches.

    Rendez-vous dimanche 1er avril !
    Je compte sur vous !

    Nicolas Hulot
    Président de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme

    Toutes les informations sur www.pacte-ecologique-2007.org.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p><o:p></o:p>L’effet « Janis »

    <o:p></o:p>

    = phénomène dit de « pensée groupale » ou « pensée moutonnière ».<o:p></o:p>

    L’effet « Janis » tendrait à se constituer lorsqu’un groupe vise à établir un consensus sur la solution la plus acceptable pour sauvegarder la cohésion du groupe et éviter les discussions susceptibles d’être sources de conflit.<o:p></o:p>

    Un certain climat de complicité cherche à s’instaurer dans le groupe. Les membres évitent de prendre des initiatives ou de suggérer des contre-hypothèses. La solution préférée initialement par le groupe est soutenue de façon sélective.<o:p></o:p>

    Le groupe aveuglé par ses préjugés est victime de l’esprit de corps qui tend à étouffer toute pensée critique indépendante.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    5 conditions prédisposent à cet effet :<o:p></o:p>

    - la cohésion élevée du groupe ;<o:p></o:p>

    - l’isolement par rapport au corps social ou à d’autres groupes ;<o:p></o:p>

    - l’absence de définition de la méthode dans le travail du groupe ;<o:p></o:p>

    - le leadership très directif ;<o:p></o:p>

    - la situation globale anxiogène et stressante.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    2 symptômes principaux émergent :<o:p></o:p>

    - l’illusion collective : illusions de moralité, de rationalité, d’unanimité et d’invulnérabilité du groupe ;<o:p></o:p>

     - la censure collective qui s’applique à soi-même et aux autres.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    4 caractéristiques signent les décisions prises par effet « Janis » :<o:p></o:p>

    - la pauvreté de l’information recherchée ;<o:p></o:p>

    - les biais et les distorsions dans le traitement de l’information et la définition des objectifs ;<o:p></o:p>

    - l’absence de prise en compte des risques potentiels que la décision comporte ;<o:p></o:p>

    - le manque de recherche d’alternatives logiques et cohérentes.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour qu’un groupe cohésif évite cet effet, il doit accepter les divergences, les désaccords et ne pas rejeter les arguments neufs et les solutions originales.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La psychologie des groupes - Alain Blanchet Alain Trognon - Nathan Université 128<o:p></o:p><o:p></o:p><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    La pensée groupale (Janis) désigne le fait qu’à l’intérieur du groupe se développent des mécanismes psychologiques qui incitent les individus à rapprocher leurs points de vue les uns des autres, à développer une cohésion qui leur fait prendre des positions irrationnelles ; elles se manifeste en particulier par le fait que l’on ne tient plus compte des réalités extérieures et, de ce fait, la décision prise est souvent boiteuse.<o:p></o:p>

    La pensée groupale comporte plusieurs aspects qui interviennent dans les prises de décision :<o:p></o:p>

    - le sentiment d’invulnérabilité qui fait que le groupe par exemple peut se croire au-dessus des lois ;<o:p></o:p>

    - la conviction d’être dans son bon droit ;<o:p></o:p>

    - la tendance à dénaturer une information contraire à la décision du groupe ;<o:p></o:p>

    - les pressions exercées sur les membres afin qu’ils soutiennent la décision majoritaire ;<o:p></o:p>

    - la tendance des membres à construire des stéréotypes concernant des personnes opposées à leur décision.<o:p></o:p>

    Les membres d’un groupe sont plus intéressés et préoccupés à sauvegarder leur cohésion ou à défendre le groupe contre des menaces externes plutôt qu’à trouver et à aboutir à une décision rationnelle.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La psychologie sociale - Gustave-Nicolas Fischer

    <o:p>Source : http://pierre.coninx.free.fr/lectures/Janis.htm</o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>

    Effet Janis<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    5 conditions<o:p></o:p>

    - Forte cohésion<o:p></o:p>

    - Isolement<o:p></o:p>

    - Absence de méthode<o:p></o:p>

    - Leadership directif<o:p></o:p>

    - Situation stressante<o:p></o:p>

    Décision: 4 caractéristiques<o:p></o:p>

    -la pauvreté de l’information recherchée<o:p></o:p>

    -les biais dans le traitement de l’information<o:p></o:p>

    -absence de prise en compte des risques<o:p></o:p>

    -Le manque de recherche d’alternatives<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Deux facteurs principaux émergent de l’effet Janis :<o:p></o:p>

    -l’illusion collective :<o:p></o:p>

    il peut s’agir d’illusions de moralité, de rationalité, d’unanimité et<o:p></o:p>

    d’invulnérabilité du groupe.<o:p></o:p>

    -la censure collective :<o:p></o:p>

    cette censure s’applique à soi-même et aux autres, s’exprime<o:p></o:p>

    parfois sous la forme de pressions directes à l’égard des membres<o:p></o:p>

    potentiellement dissidents.<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Exemple de Pearl Harbor<o:p></o:p>

    5 conditions  Flotte à l’abris à Pearl Harbor<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    - Forte cohésion  Esprit de corps<o:p></o:p>

    - Isolement  Groupe isolé<o:p></o:p>

    - Absence de méthode<o:p></o:p>

    - Leadership directif  Hiérarchie militaire<o:p></o:p>

    - Situation stressante  2ème guerre mondiale<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Décision: 4 caractéristiques<o:p></o:p>

    -la pauvreté de l’information recherchée  Infos sur espionnage dans cette zone<o:p></o:p>

    -les biais dans le traitement de l’information  Sécurité/zone déjà franchie<o:p></o:p>

    -absence de prise en compte des risques  Pas d’alerte générale<o:p></o:p>

    -Le manque de recherche d’alternatives  Pas d’autre solution envisagée<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Deux facteurs principaux émergent de l’effet Janis :<o:p></o:p>

    -l’illusion collective :<o:p></o:p>

    il peut s’agir d’illusions de moralité, de rationalité, d’unanimité et<o:p></o:p>

    d’invulnérabilité du groupe.<o:p></o:p>

    La décision est la bonne à 100%<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    -la censure collective :<o:p></o:p>

    cette censure s’applique à soi-même et aux autres, s’exprime<o:p></o:p>

    parfois sous la forme de pressions directes à l’égard des membres<o:p></o:p>

    potentiellement dissidents.<o:p></o:p>

    Rejet de toute info négative<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Source : http://www.staps.univ-avignon.fr/S2/UE2/Psychologie/L1_PsychoSocio_dynamique_groupes_Teulier.pdf<o:p></o:p>

    </o:p>

     

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